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Grégaire en dehors de la période de nidification, les tourterelles se regroupent aux nourrissages (1) ou aux dortoirs en bandes parfois très importantes. La littérature mentionne des rassemblements de plusieurs centaines d'individus comportant jeunes et adultes en hivernage. Dans nos régions, elle s'observe surtout en couple ou l'été en famille avec un ou deux jeunes. La tourterelle inconnue en Belgique avant 1952 a manifesté une expansion rapide et importante, les premières nidifications furent homologuées à Knokke en 1955, à Bruxelles en 1958, à Liège en 1960 et aujourd'hui la population belge est évaluée à 60.000 couples . L'identification ne présente pas de difficulté même pour les oiseaux juvéniles. En couple, le mâle adulte (2-3-4) se reconnaît par un collier plus prononcé en dimension et contraste, en main d'autres critères permettent de déterminer le sexe avec plus de précision. |
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Détermination de l'âge | |||
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La tourterelle appartient à l'ordre des colombidés, sa mue ne
correspond pas aux stratégies couramment développées par les
passereaux, en principe elle mue complètement chaque année. Ces critères n'existent plus au printemps.
Oiseau d'âge inconnu noté >1Y (ou >2Y après le
31 décembre)
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Détermination
du sexe
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La longueur alaire et la longueur de la queue constituent les critères
les plus objectifs tant pour les adultes que pour les juvéniles tout en
sachant que chez ces derniers les longueurs sont généralement
inférieures ce qui augmente les chevauchements et les cas
d'indétermination. |
Chez le juvénile, les dimensions sont respectivement: mâle LA >178 et la queue >141 pour la femelle La <176 et la queue <126. Déterminer le sexe d'une seule tourterelle par l'observation du plumage exige une grande expérience. En dehors de la période d'hivernage, elles vivent en couple et par comparaison les faibles signes distinctifs apparaissent plus clairement (2). Chez le mâle le collier (3) est généralement plus large et plus contrasté, la teinte de la tête (4) et du haut de la poitrine s'avère plus vineuse. |
Le lâcher d'un oiseau requiert autant de précautions que lors de sa capture et des manipulations ultérieures. L'oiseau placé sur le dos dans la paume de la main observe son environnement quand l'étreinte disparaît, il sait quelle direction prendre pour éviter les obstacles éventuels. |
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© Copyright 2004 Gaston Gast
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